Dès 2018, des études universitaires avaient prévenus l'OMS que les pays devaient se préparer à de nouvelles pandémies de virus respiratoires. Le modèle pris en compte fut celui de la grippe espagnole due à une autre virus, qui fit 50 millions d morts en 3 vagues en 1918-1920.
En 2020, l'OMS et les médecins alarmés par l'apparition en Chine d'un nouveau virus, la COVID-19, demandèrent ainsi au pays de réagir avec vigueur. Ce fléau en fait n'est pas si nouveau et l'histoire humaine est parsemée de pandémies plus ou moins importantes, sans jamais provoquer un cortège d'actions en cascade aussi majeures. Une véritable psychose s'est dès lors développée et quasi tous les pays du monde se sont mis à confiner et à obliger des fermetures de commerces, d'entreprises et des gestes barrière.
Cela a provoqué la pire récession de l'économie mondiale depuis la dernière guerre mondiale, avec son cortège de faillites et de chômeurs. Des millions de personnes en sont mortes, des centaines de millions se sont retrouvées sans ressource, faisant reculer le développement de plusieurs années au moins.
Ces effets collatéraux ont été bien plus importants que les quelque 900.000 décès de la COVID-19. Cette distorsion entre les effets du virus et ceux de ces mesures interpellent.
On peut dès lors se poser la question suivante : à qui profite le "crime" ?
Le présent essai tente de répondre à cette question dans 3 directions avec l'aide de médias asservies et de médecins en mal de pouvoir :
- Des états se sont engagés dans un bras de fer avec les populations terrorisée et l’on a assisté à un renforcement des régimes dictatoriaux et une évolution des démocraties vers l’autoritarisme.
- Des sociétés numériques et d’intelligence artificielle sont les grandes gagnantes de cette révolution, avec des machines qui nous suivent, nous surveillent, nous tracent, prennent notre température.
- Des sociétés pharmaceutiques dans leur course folle et dispendieuse au vaccin miracle et aux médicaments et dont l’OMS nous dit que ce ne sera pas pour cette année 2020, ni peut-être pour l’année prochaine.
Nous terminons la réflexion par des propositions pour « en sortir ».
Auteur : |
Serge Dalla Piazza |
Catégorie : |
Sciences Politiques - Politique et pouvoir |
Format : |
A5 (14,8 x 21 cm) |
Nombre de pages : |
162 |
Couverture : |
Souple |
Reliure : |
Dos carré collé |
Finition : |
Brillant |
ISBN : |
978-2-8083-1044-4 |