Nous avons dans notre académie que les fondements de notre Education ont pour principe les sociétés gréco-romaines classiques et que le fil conducteur de notre éducation doit suivre nos principes culturels aux racines eurocentriques, comme si nos matrices africaines n'avaient rien apporté à notre civilisation ou dans notre imaginaire qui ait consolidé notre processus de formation culturelle et notre identité nationale, vivant dans un pays avec une population autoproclamée de 56% d'afro-descendants et étant pratiquement 80% en fait selon des études de généticiens dans le années 2000.
Dès lors, même si elles ne sont pas reconnues comme telles, les valeurs civilisatrices des matrices africaines et indigènes, mais surtout celles des matrices africaines sont présentes dans ce processus et même prédominantes dans ce même imaginaire qui a consolidé notre processus de civilisation-identité nationale. formation au-delà de la population purement afro-descendante en elle-même dans de nombreux cas, comme l'exemple des relations entre peuples autochtones et envahisseurs chez les subsahariens, notamment en Afrique de l'Ouest, dans l'exemple de la fondation de ce qui allait devenir le Royaume et la Cité de Ketu par le roi Ede (Ode – Oxóssi, descendant de l'ancêtre mythique Yoruba Oduduá) d'origine Yoruba, lorsqu'il est reçu par la matriarche d'origine Fon (Jeje) Iya Kpanko, suivant les valeurs civilisatrices habituellement répandues parmi les peuples de la région, il ne s'est pas battu pour le domaine du territoire avec les indigènes Fon et ils n'ont pas non plus résisté, et selon la tradition de ces valeurs civilisatrices, alors qu'il n'y avait pas de ressources naturel pour la coexistence à la fois des communautés de peuples envahisseurs (dans ce cas les Yoruba) et des peuples autochtones (dans ce cas les Fon) ces ressources ont servi aux deux peuples à s'abriter dans le même espace et dans le cas de Ketu, la Matriarche Fon a offert le feu des ancêtres les leurs au monarque yoruba comme signe d'acceptation de la coexistence et du partage des valeurs culturelles entre les deux peuples auquel le roi Ede (Oxóssi) en acceptant déclare qu'il y (dans la ville qui serait Ketu, il étant le premier Alaketu) l'imale vivrait en paix (musulmans), Onigbagbo (chrétiens) ile Orisa et Vodunsi (traditionalistes du culte des Orixás, Ifá et Vodun comme les autres) ou toute personne de croyance, qu'elle soit ou non même s'il était un roi qui avait sa royauté légitimée par le culte de son ancêtre Oduduá et les autres Orixás n'obligeraient personne à se convertir à la religion traditionaliste du culte de leurs ancêtres et que quiconque, indépendamment de ses croyances ou non, serait le bienvenu et accueilli dans ce qui arriverait être Ketu comme signe de ce feu ancestral (qu'il a déclaré être le Feu de la Coexistence) reçu par la matriarche Fon comme signe d'union entre les peuples TANT QU'IL RESPECTE LES VALEURS DE CIVILISATION ACTUELLES CONVENUES ENTRE LES DEUX PEUPLES
Auteur : |
Ivan Poli (Osunfemi Elebuibon) |
Catégorie : |
Sciences humaines |
Format : |
A5 (14,8 x 21 cm) |
Nombre de pages : |
77 |
Couverture : |
Souple |
Reliure : |
Dos carré collé |
Finition : |
Brillant |
ISBN : |
978-2-8083-2256-0 9782808322560 |