Le travail fait évidemment partie de notre quotidien, dès le plus jeune âge. C’est une valeur culturelle sûre et honte à celui qui n’en a pas ou plus. Selon certains, il assure notre vie quotidienne, nous confère de la dignité et nous rend heureux. Selon d’autres, c’est une obligation, voire un asservissement. La situation des uns n’est pas celle des autres et chaque lecteur se situera là où il le veut.
Après 45 ans de travail et quelques années de réflexion, j’ai pu constater que la notion de travail a bien évolué au gré de mouvements sociaux et d’une législation de plus en plus complexe. L’esclavage continue à exister dans certaines contrées et même sous nos latitudes. La notion d’esclave salarié nous contraint à revoir quelques principes de base. Il reste aussi dans toute situation de travail un reliquat de subordination qu’on peut assimiler à la notion d’esclavage moderne, caché derrière un arsenal juridique.
Derrière ces considérations se terre une ultime vision de l’être humain, fondamentalement égoïste, individualiste et vaniteux ou bien grégaire et altruiste. A chaque instant, selon les circonstances, l’individu est amené à se situer sur un curseur qui oscille entre ces deux extrêmes.
Auteur : |
Serge Dalla Piazza |
Catégorie : |
Sciences Politiques - Philosophie politique controverses contemporaines |
Format : |
A5 (14,8 x 21 cm) |
Nombre de pages : |
181 |
Couverture : |
Souple |
Reliure : |
Dos carré collé |
Finition : |
Brillant |
ISBN : |
978-2-8083-2286-7 9782808322867 |