Le Livre en papier • L'arène du roi de Antoine Svitchkenbaum

Flarto et son peuple vivent en conflit avec une tribu voisine, nommée les Bourtaxs pour des raisons d'égoïsme et de paresse.
Le roi réussit à convaincre son royaume qu'un trésor très ancien est enfoui dans les oubliettes d'une grotte non loin.
Il réussit difficilement à persuader des Bourtaxs de se joindre à eux.
L'archiviste de Dourfalgue, descendants des ennemis des Bourtaxs ayant eu la promesse du chef que ceux-ci ne se mêleraient pas l'aventure et méprisant les Bourtaxs décide de les suivre discrètement et tenta de tous les tuer en créant un éboulement. Il fut immédiatement banni après avoir emporté avec lui sa part du trésor qu'ils ont découvert.
Sur sa route, il tomba sur un petit village qui fut vite envahi part des sauvages, nommés les Slortexs.
Ils l'épargnèrent grâce aux pièces d'or qu'il possédait mais du trahir ses anciens compatriotes pour sauver sa vie.
Entre temps, les Barramiss accueillirent un ancien habitant de l'abbaye et ancien ami de l'archiviste arriva au château et les aida à découvrir une loi très ancienne.
Soudain, les sauvages débarquèrent et attaquèrent.
Les Barramiss durent battre en retraite et durent négocier, sous peine de les tuer à l'aide demeure archers, une bataille pas comme les autres sur base des indices dénichés à propos de la loi.
Les sauvages durent accepter sous la menace des archers.
À l’aide des indices, les Barramiss et les Slortexs construirent une arène de gladiateurs sur laquelle ils élaborons des procédures afin de batailler.
Au cours de l’aventure un jeune garçon du clan des Barramiss tomba amoureux d’une jeune fille du clan ennemi.
Ils durent jouer l’un contre l’autre et furent contraints de laisser les leurs mourir sous leurs yeux en ayant le devoir de respecter leur procédure, leur déplacement, de rester sur place sous peine d’être tués par les archers.
Après la victoire des Barramiss et la mort de la fille, le jeune garçon l’enterra à l’aide de son clan.
Il quitte les lieux ayant trop mal au cœur.
Le meilleur ami de l’archiviste écrit un testament à propos de cet aventure en donnant un nom à ce jeu : échec.