Recherche « écophile » : nous rencontrons des habitants et leur demandons de parler de leurs activités et du lieu où ils nous reçoivent. Nous retranscrivons ensuite fidèlement le cours de la conversation. Alors, c’est comme si ce tissu de paroles reconstituait un lieu habité : une ville, un village, un hameau qu’on croyait connaître. Et pourtant...
Des paroles vives, comme des réseaux souterrains, des sources de vie...
Habiter vraiment les villes et les villages est devenu de nos jours une préoccupation majeure : les écrans, le virtuel, nos occupations frénétiques nous éloignent de l’espace social, de la rue. L’observatoire (et l’observateur) écophile se soucie de cette question.
Aux paroles des habitants, nous avons associé des citations et des réflexions (de nombreux auteurs et de moi-même au cœur d’une recherche... que je découvre), qui sont autant de suggestions de réponses aux diverses questions que pose cette démarche : tout un maillage.
Par ailleurs, l’observateur écophile qui se doit de prendre le temps de rester dans ses lieux d’enquête rapporte des images résultant de cette présence attentive. Dans le carnet, elles entrent en résonnance avec les mots.
Editeur : |
asbl GE! |
Catégorie : |
Carnets de voyage - Afrique |
Format : |
Carré (21 x 21 cm) |
Nombre de pages : |
68 |
Couverture : |
Souple |
Reliure : |
Dos carré collé, cousu au fil de lin |
Finition : |
Brillant |
ISBN : |
978-2-930568-15-7 |